Je l'avais déja mise sur mon blog cette photo mais je l'adore!!! Trop bon je trouve!!...
D'après un chroniqueur dans un mag' français:
"Gérard Depardieu va s'installer en Belgique, comme d'autres, nombreux dit-on. Comme Afflelou, Bernard Arnault, Johnny précédemment… Tant d’autres avant lui aussi… Comme le contingent de français qui tous les ans croit de 10% en Asie, qui a triplé en 10 ans en Australie, qui au Proche-Orient croit de 12% l’an, qui représente quasiment 500 000 expats à Londres... Pour échapper au fisc? Pas seulement, et surtout pas seulement, et on a bien du mal à trouver à la France des circonstances atténuantes.
Et si la France était devenu un pays tout simplement détestable?
Je sais ça n'est pas bien de dire les choses de cette façon, je n'oserais pas le dire sur Europe1, RTL ou TF1 j'aurais peur, je n'assumerais pas. Alors je le dis ici. Dans cette intimité-là.
Une réflexion presque intime en partage.
Voilà cette intuition: je suis sûr qu'on ne quitte pas la France pour des raisons fiscales. Je crois qu'on quitte la France parce qu'on a les moyens et surtout l'envie d'aller voir ailleurs si elle n'y est pas. Si elle n'y est plus. Je crois que les gens sont prêts à payer des impôts mais ils ont besoin de savoir pourquoi et dans quel but ils paient… Quand tout devient trop opaque, affairiste on ne se projette plus dans ce modèle dit social qui n’a plus de social que le nom…
Je crois qu'on quitte la France parce qu'on ne la supporte plus !!!
Et je crois que la France est devenue insupportable.
Et c'est parce que je ne fais que croire que je m'exprime ici. Pas ailleurs. C'est trop important.
Et notre France n'est pas insupportable qu'aux riches, elle est insupportable à ses habitants, à commencer par les plus pauvres, mais aussi insupportable à ses classes moyennes, citoyens bien trop faciles à « surpresser-surstresser-surculpabiliser. »
Quiconque est en bonne santé mentale dans ce pays a des rêves et des envies d'ailleurs. Il y a quatre mois, le manifeste « Barrez-vous » sonnait déjà le tocsin. Deux ans avant ce texte, j'avais réalisé cette interview du sociologue Louis Chauvel, spécialiste de l'appauvrissement d'une génération et qui donnait à la jeunesse pauvre et désargentée le conseil suivant: partez à l'étranger! Il n'y a pas un sociologue dans ce pays qui ne constate la bunkerisation des classes sociales, l'étanchéité croissante des couches de la société, le blocage des mécanismes de promotion individuelle et collective.
La France est devenue un pays détestable car tous les indicateurs, mêmes les plus insolites, montrent que les Français ne se supportent plus les uns les autres.
Dans la longue liste des symptômes, la fiscalité qui frappe les riches me paraît secondaire, même si pour certains nantis, elle est déterminante. Mais il y en a d'autres. On peut citer en vrac:
- la préférence institutionnalisée pour le chômage qui exclut de facto les plus jeunes, les plus vieux, les femmes et les étrangers, pour ne reposer que sur une base très étroite, à savoir l'homme blanc de 25 à 45 ans;
- l'incapacité à intégrer les étrangers tout en revendiquant un modèle exemplaire d'intégration « blanc, black, beur », les derniers chiffres le montrent, la France terre des droits de l'homme, terre d'asile, terre d'accueil est nulle en matière d'intégration;
- la plus forte consommation au monde d'anxiolytiques et d'antidépresseurs; les dernières enquêtes mondiales montrent les français plus pessimistes sur l’avenir pessimistes que les irakiens ou les afghans et autres indiens ou cubains;
- le cynisme qui fait partout office de prêt à penser, de prêt à blaguer;
- une des pires des réputations touristiques quand ils se déplacent et des Français quand ils reçoivent et il suffit pour s'en convaincre de jeter un oeil à la dernière étude sur l'hospitalité parisienne le tout via un aéroport international qui est l’un des moins bien noté au monde pour sa facilité, son hospitalité, son accueil;
- l’incapacité de remettre en cause les rentes acquises par des minorités de nantis tandis que la majorité subit le dictat de la dureté de la concurrence, de la précarité. Chacun rêve à se créer une rente pour plus ou moins officiellement profiter un peu de ce qu’il paie et inconsciemment « tondre un peu plus le mouton », le logement dit social qui n’a plus grand-chose de social en est un exemple flagrant;
- des partis populistes qui réalisent aux élections des scores élevés de façon somme toute logique mais tellement anormale, des partis dit « politiquement corrects » qui flirtent avec le populisme pour récupérer des voix à la petite semaine;
- des partis de gouvernement incapables d'affirmer leur modèle de gouvernance et qui embrayent le pas de la démagogie avec à ma gauche les 75%, complètement anti-économique et incohérente mais acheteuse de voix pour la populace, et à ma droite « le pain au chocolat à la sauce ramadan ». L’objectif est trop souvent de parler le premier sans réfléchir à l’impact, hormis électoral, pour faire que cette parole dépourvue d’analyse « devienne vérité », fasse le twitt, le buzz. Des gouvernements qui gèrent l’état comme un chien suit son maitre lors d’une sortie. Les chiens courent au-devant de leur maitre sans plus réfléchir de la direction ou va le maitre. Le maitre change de direction, l’opinion publique varie, alors le chien change de direction mais toujours au-devant de son maitre sans savoir pourquoi il change, le gouvernement fait pareil et s’adapte sans réfléchir pourvu que cela « devienne la nouvelle vérité »;
- des dirigeants faibles qui font, refont et défont des réformes superficielles dès qu’une crise apparait sans autre vision de long terme en espérant que le clientélisme durera jusqu’aux prochaines élections afin de conserver les baronnies, les clochers; déclarer des guéguerres pour diviser, pour ne pas avoir de vrais débats de fonds dont le seul mérite, par incompétence est d’accroitre la charge du contribuable sans offrir plus de visibilité future;
- des partis de gouvernement ayant chacun donné l'exemple d'élections truqués et non démocratiques pour choisir leurs dirigeants et qui aboient devant les médias au respect des règles de l’état démocratique;
- des idées plus ou moins farfelues lancées à l’emporte-pièces par des gouvernements sans données de fonds, sans études préliminaires, sans analyses préalables uniquement pour lancer des débats et par intérêt de faire diversion sur les réels problèmes;
- dans le même registre farfelu, des dirigeants politiques qui lancent des idées venant de conclusions « à dire d’experts », pour ne pas dire des conclusions au « doigt mouillé » la frontière étant tellement mince, parlementaires surpayés dans des commissions qui se répètent les unes aux autres et dont une fois l’effet médiatique passé servent à caler les armoires des ministères. Et quand ces idées sont mises en place aucune étude sérieuse n’est faite pour savoir si la mise en place est louable, viable ou non, alors on empile les incohérences et contradictions « de dires d’experts »;
- des conflits larvés de génération avec une critique ridicule de la génération Y par la génération X elle-même pleine de rancune à l'égard de la génération qui a fait mai 68 et s’est engraissée outre mesure en prétendant le contraire et en laissant une dette monstrueuse à ses enfants et petit enfants (plus de 40 000 euros de dette publique par tête de pipe en France à ce jour) qui poussera à terme à la même situation que la Grèce, que l’Espagne avec des taux de chomages qui vont exploser mais entretient les rentes de ses anciens pseudo-égalitaires. Ces soixante-huitards qui maintenant fustigent la jeunesse de ne vouloir travailler mais qu'ils paient à des salaires indécemment bas après les avoir poussés à être surdiplômés. Cette génération Y pris en tenaille entre des prix de l'immobilier bien trop cher et détenu par les "vieux rentiers" de ce pays, entre les retraites qu'ils doivent assurer à ces derniers et dont ils ne bénéficieront jamais, entre un ascenseur social qui ne fonctionne plus et limite les perspectives à la hausse par une société tenues par des castes installées depuis des générations. Alors cette génération X qui pronait les bons sentiments va surtout réussir à laisser un nombre incalculables de casseroles à ses descendants... On est égalitaire quand l’on n’a peu mais dès que l’on a un peu plus que la normale l’égalité entre tous disparait très vite du comportement humain;
- une détestation des religions qui confine à la suspicion tant il est avéré que tout ce que ce pays compte de vrais religieux lui est bien plus socialement utile qu'il n'est néfaste à la réalisation du pacte républicain;
- une confiscation politique, démagogique et professionnalisée du débat public par les associations répondant à des lobbys de tous horizons qui ont fait des poursuites judiciaires un moyen d'existence et de promotion politique et sociale de leurs membres;
- une utilisation abusive du principe de précaution dans tous les domaines de la vie collective doublée d'un culte du risque zéro sclérosant, débilitant, infantilisant. On a fait de la pseudo- précaution terroriste en lâchant dans les rues, les aéroports, les gares des militaires dont on ne sait plus pourquoi ils sont présents hormis pour rassurer une population qui a peur, non pas du terrorisme comme on nous le vend et dont on connait l’inefficacité de ce genre mesure sécuritaire mais par peur d’une délinquance quotidienne croissante que l’on ne sait enrayer hormis en masquant les chiffres de celle-ci car on ne sait comment la passer au « karcher », mais toujours en achetant la paix sociale à coups de subventions, d'aides sans mesure de l'effet de bunkerisation sans aider les personnes qui ne font pas de bruits, qui font ce "qui doit être faits" pour mener à bien leur petite barque. Le principe de base est devenu qu'il faille "faire suer" les autres pour être entendus, pour recevoir un petit quelque chose;
- une crise syndicale qui n'a jamais été aussi forte: crise de la représentation d'une part, crise des idées de l'autres. Les négociations sur le travail le montreront dans quelques jours, elles prouveront surtout que les syndicats patronaux comme les syndicats de salariés sont surtout soucieux de garantir leur survie dans un système en bout de course. Elle pose aussi le problème du « pourquoi négocier avec des extrêmes » quand on sait que les représentants ne sont plus que des extrémistes-arrivistes ne représentant plus la majorité de leur base qui eux souffrent des excès de nantis de ces derniers;
- une crise économique majeure que la France n'est pas le seul pays à subir mais qu'elle est sans doute le seul pays à combattre avec des idées et des outils qui datent d'un autre siècle, voir refuse de combattre par peur du lendemain;
- une crise enfin de la représentation médiatique qui alimente un climat délétère en dressant le portrait d'une société toujours plus individualiste, où l'exhibition des douleurs intimes, l’exhibition des extrêmes est plus vendeur que la masse qui fait de son mieux pour être dans la norme. L’exhibition devenue la norme est non plus collectives, devenue depuis le milieu des années 80 le véritable gasoil du marché publicitaire, y compris dans le secteur public, paradoxalement.
Je pourrais comme ça aligner le catalogue dépressif de ces maux bien de chez nous, je m'en tiens précisément aux symptômes qui traduisent non pas le malaise, mais le malheur, la dégringolade psychologique, l'incapacité à refonder le contrat social, le vivre ensemble et la bienveillance collective.
Dans cette République-là, la parole politique est d'autant plus anxiogène qu'elle est fondée sur un mensonge permanent, un mensonge de bonne foi, hélas. Un mensonge alimentée par des vues électorales de court terme, par une mafia faite de clientélisme-électorale corrompue organisée au plus haut niveau de l’état dit Providence et alimentée par les subventions, les postes assurés aux « amis ».
On invoque une égalité dont la dynamique ne fonctionne pas.
On évoque une exception française qui n'existe pas.
On fonde la loi sur des principes Liberté, Egalité, Fraternité que l'on ne respecte pas.
On traite la jeunesse avec une hypocrisie, une condescendance et une démagogie qu'elle ne nous pardonnera pas.
On ment en faisant croire que le monde des usines qui fument noires était plus égalitaire, plus solidaire.
Voilà pourquoi si j'étais riche ou si j'avais 20 ans, moi aussi je quitterais la France. Je la quitterais avec rancoeur, avec amertume, avec des larmes, comme on quitte une personne qu'on aime et qu'on déteste à la fois, mais je la quitterais quand même, pour me sauver, avec tout l'égoïsme et toute l'énergie du désespoir, et faute de la quitter vraiment, je la quitterais dans ma tête et c'est bien ce que chacun de nous essaie de faire chaque jour pour tenter de l'aimer encore.
Et qu'on ne me serve pas l'argument « minable » et patriotique de la solidarité, des guerres et des morts passés. C'est un argument donneur de leçon, culpabilisateur menteur, mal fichu, un argument de sergent recruteur.
Personne n'aime son pays.
Personne n'est amoureux d'un passeport à part quelques doux dingues en rupture. Je n'ai jamais rencontré de ma vie quelqu'un qui avait l'amour du pays, quelqu'un qui me dise, j'aime la France.
En revanche...
Je n'ai rencontré que des gens bien. Des gens qui ont envie. Des gens généreux, respectueux. Tous formidables. Je ne connais pas de Français détestables méritant l'indignité nationale et pour paraphraser le chanteur, je n'en connais que de fragiles. Mais croyez moi quand je croise un patriote étiqueté, je change de trottoir. L'amour du pays c'est ce qui reste avant les premiers coups de canon. L’amour du pays ce sont ses ressources, sa créativité, sa richesse, sa diversité, ses paysages, ses traditions, ses sites… On aime une histoire écrite et que l’on écrit encore ou que l’on soit. L'amour du pays c'est pour 14-18 ou 1998, c'est pour justifier les morts ou supporter les buts. On n’aime pas un pays, on aime un projet pour fédérer, réunir mais cela est tellement manquant depuis si longtemps, et les projets ont laissé place à une couverture de bric et de broc que chacun tire à soi en espérant qu’elle ne se déchire pas trop, pas trop vite. Alors on n’ose plus en son propre territoire mettre, par culpabilité, en avant le drapeau tricolore par extrémisme déplacé.
La France est devenue un pays insupportable parce qu'elle ne se supporte plus, parce qu'elle est fatiguée de se mentir, parce qu'elle n'aime ni ses jeunes, ni ses vieux, ni ses hommes, ni ses femmes et qu'elle est devenue incapable de pardonner à un artiste, elle qui du temps de la Renaissance les faisait venir de l'Europe entière. La France est devenue insupportable car elle « livre en pâture » aux médias, à l’opinion, aux électeurs ses citoyens à tour de rôle. Tantôt riches, tantôt pauvres, tantôt assistés, émigrés, retraités, footballers, banquiers, fonctionnaires, smicards, patrons, syndicats, religieux… Aujourd’hui on lynche les acteurs !!! Les nouveaux jeux du cirque de la Rome antique!!! On lynche les exilés fiscaux fasse au matraquage fiscal incohérent mais on ne se demande pas pourquoi les gens partent. Lyncher va plus vite et évite de se poser des questions sur les vraies raisons. Ca amuse la galerie et permet d’éviter les vrais problèmes en placardant tous azimut. La France est devenue insupportable car elle ne sait traiter ses problèmes en espérant que ça explosera chez le voisin, chez le nanti d’à côté et non chez soi. La France est devenue insupportable car elle fait des amalgames de tout et de rien. La France se cherche une identité, un futur alors elle agresse sans vergogne, comme elle a pu le faire envers un industriel indien, elle cloue aux piloris ses têtes de proue qui s’exilent, elle cloue aux piloris les uns puis les autres. En espérant que ce sera toujours les autres…
La France est devenue insupportable parce qu'elle est tout simplement malheureuse, malheureuse comme une personne qui vous fait peine. La France est malheureuse car elle s’ennuie, elle est fatiguée, épuisée de se chercher une identité, de tourner en rond, tel Don Quichotte de se battre contre des moulins à vent, des idéaux du passé loin du monde du 21ème siècle. La France se cherche, elle a peur de son future alors elle jalouse la réussite, la pensée différente, l’initiative, l’avancée, l’ambition. Elle s’ennuie, ne rit plus ; un icone qui la quitte et que l’on brule sur la place publique n’est que l’arbre qui cache la forêt. La France se ment et dérive, subit passive, pétrifiée de regarder l’avenir, les récifs qui approchent. La France dérive comme un navire sans skipper (peut-on appeler nos dirigeants des skippers?? Assurément non. Des technocrates de deuxième division oui mais pas des skippers qui définissent des directions, des caps...), tout le monde s'en rend compte, le ressent au quotidien mais attend d'être acculée aux récifs pour envisager le changement. La France rêve d’une illusoire, hypothétique et bien trop sublimée nouvelle Révolution Française. Mais la France a une pyramide des âges qui détient le pouvoir, l’argent, les rentes bien trop vieille pour se lancer dans une Révolution. Elle en rêve dans son subconscient collectif mais en est incapable par peur de l’envisager sérieusement. Par per de perdre sa rente… Sa petite rente… Une Révolution mais en souhaitant que cela change les autres, pas soi… Elle est malheureuse de son état obèse, hypertrophié de son administration qui ne la sert plus mais est devenue une contrainte de plus pour chaque citoyen, de ses dites « élites » qui la serve plus dans un déni constant de réalité, élites politiques, sociales, religieuses, économiques se revendiquant du siècle des Lumières mais s’attachent à remettre dans l’ombre le moindre rêve.
Partir de France aujourd'hui, ce n'est certainement pas une déchéance, ou un passage à l'acte fou, c'est juste un rêve sain, un rêve de Brésil, d’Asie, un rêve d'ailleurs dans une Europe plombée où d'autres nations, d'ailleurs, réussissent mieux que nous à se réinventer, à gérer le vieillissement, l'éducation, le travail, le partage, l'effort, les retraites. Partir de France, c'est certes un privilège de riche, mais c'est aussi une alternative pour les plus jeunes, une ambition saine et louable. Le même Louis Chauvel me disait dans l'entretien cité plus haut qu'il est préférable d'être jeune dans un Canada en crise plutôt que dans une France en croissance, c'est dire.
Alors pourquoi aimerait-on ce pays? Dont l'Etat surendetté donne des leçons de gestion à ses citoyens qui n'en peuvent plus? Un état qui vit de Pyramide de Ponzi. Un état qui demande de remplir un « Tonneau des Danaïdes » prenant l’eau de toute part. Cette image de la mythologie grecque est le symbole d’un châtiment absurde, sans fin et impossible. Mais il faut payer alors autant partir même si ce n’est que la partie émergée de l’iceberg… Comment aimer un Etat moralisateur mais profondément menteur de la réalité, de l’évolution du monde.
Il faudrait être frappadingue pour ne pas avoir envie de partir. Il faut être un immense pervers pour imaginer que le monde n'est pas plus séduisant au dehors que la vieille France au dedans, il faut être un gardien de prison pour faire passer un évadé, un expatrié, un immigré de France, fut-il l'exaspérant Depardieu, pour un coupable, pour un salaud, pour un traître. Alors par incompétence, par petitesse d’esprit on diabolise pour rendre coupable comme l’Eglise diabolisait durant l’Inquisition ses pseudo-sorcières.
Riche ou pauvre, celui qui se sauve nous raconte souvent une histoire que nous ne voulons pas entendre, une histoire qui nous met face à notre réalité, une réalité que l’on n’accepte pas. Son message nous renvoie nos propres manques.
Et c'est souvent pour ça qu'on lui en veut."
J'adore!!!! Très bon!!!
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Avec Mark après "a couple of dirnks" dans un restau argentin!!!